Dominique Lucquin Le Thomas
D’aucuns s’imaginent qu’en résidant à Bréhat, nous sommes désavantagés en cas de problème grave de santé.
Il n’en est rien et je tiens à remercier ici la promptitude et l’efficacité de l’équipe de secours de l’île.
D’abord notre médecin Yves Trimaille qui a mis moins de dix minutes pour arriver sur les lieux, un Dimanche, ainsi que l’équipe de pompiers de Bréhat ; Pascal, Stéphane, Antoine, Damien.
Merci à tous pour votre accompagnement bienveillant.
Daniel Joniot
Merci pour […] la réunion que vous avez organisée.
Ayant dû quitter cette réunion dès le début du débat, je souhaitais vous faire part de quelques réflexions :
1- le bon déchet est le déchet qui n’existe pas ! Comme vous l’avez indiqué, il est absolument essentiel de déployer information et pédagogie pour limiter au maximum l’apparition des déchets.
2- à part les bréhatins, tous les français trient leurs déchets depuis maintenant plusieurs années. La poubelle jaune, les compostages et autre consigne sur le verre sont des urgences absolues. Encore une fois, information et pédagogie…
3- les deux points ci-dessus doivent permettre d’interrompre la fuite en avant perpétuelle qui fait dimensionner des capacités de traitement gigantesques sans vouloir s’attaquer aux racines du problème. 230 tonnes en 2016, 250 en 2019 : il n’y a pas de fatalité à cette augmentation mortifère. Information et pédagogie…
4- avant de dimensionner des installations sur les tonnages annuels et leur inexorable augmentation, il serait intéressant de connaître la réparation des 230 tonnes sur les 12 mois de l’année et d’avoir une idée de la provenance des tonnages entre commerces, artisans, bréhatins, estivants et touristes. Il existe des parcs naturels dans lesquels il n’y a pas de poubelle mais où on donne un sac à chaque entrant pour qu’il y garde ses déchets et les sacs sont impérativement récupérés à la sortie. Pourquoi pas un peu d’information et de pédagogie dès la vedette et des containers à l’Arcouest ?
Alain Le Boulaire
Houlàlalala ! On dirait une fiction et pourtant c’est la réalité toute crue, digne des grandes productions cinématographiques (Main basse sur la ville, Chanatown, Cityzen kane,etc.). Une production Brehatine pur beurre : CHICAGO OMBRES ET BROUILLARD.
Hé oui hé oui OUIOUI tout commence à CHICAGO de chez nous. On renifle donc un parfum de CAMORA. Un petit groupe de parrains fomentent, organisent, magouillent un projet redoutable : LE TRAITEMENT DES DECHETS DE L ILE DE BREHAT. Il ne faut pas que cela se sache mais de gros investissements sont prévus pour un résultat d’une médiocrité sans précédent. C’est STUPEFIANT ! (Comme aurait dit Pablo Escobar). Bref après avoir sollicités les deux neurones qu’ils leur restent ils ont élaborés ceci : INSTALLER LA NOUVELLE DECHETTERIE AU SUD DE CHICAGO de l’autre coté de la route, au beau milieu d’habitations. Tu m’étonnes qu’ils entretiennent la discrétion. En bonne « néo-Camora » ils vont déterrer les restes de notre bon vieux Victor Le Gonidec. Ils ont une bonne pratique : on enterre on déterre on transfère. Quelle différence ? Les descendants du vieux ne respectent pas ses dernières volontés, lui qui ronflait tranquillement entre quatre ifs au milieu de cette foutue future déchetterie. Peu importe ils ont la bénédiction de la Camora qui prend les frais à sa charge ou plutôt à la notre. Donc on nous cache tout, on nous dit rien et à terme on paye pour les détails d’un projet sans jamais avoir été consulté. Moi je leur dits : Hé les gars, les filles la démocratie plus on en parle moins on la pratique ! Vous avez des comptes à rendre, en plus, en dehors des investissements débiles, va falloir réfléchir avec le dernier neurone qui vous reste à la VALORISATION DES DECHETS. Ils sont muets, ils sont sourds c’est déjà pas de la tarte mais quand on leur a parlé de la poubelle jaune (star du tri sélectif) on s’est aperçu qu’ils étaient daltoniens. A mon avis c’est pas la presse qu’il faut changer !